L’entretien a porté sur l’insécurité alimentaire et nutritionnelle qui touche toujours éun nombre important de nos concitoyens de l’Union”, a dit le Président de la Commission.
Cette année encore, 6,5 millions de personnes sont concernées par cette insécurité. Il s’agit d’un « déficit structurel » auquel il faut apporter « des réponses fortes et rapides », a-t-il affirmé.
A l’insécurité ambiante liée au terrorisme, sont venus s’ajouter les impacts des mesures administratives prises par les autorités pour lutter contre le Covid-19, a poursuivi M. Abdallah Boureima.
Ces mesures ont eu un impact important dans le vécu des citoyens de l’union, du monde rural en particulier, a-t-il dit. Cela a aggravé la situation et là également, il faut une coordination au niveau politique pour revoir ces mesures pour que les impacts négatifs puissent être atténués, a souligné le Président de la Commission.
L’entretien a également porté sur la transhumance qui est devenue « un sujet crucial au niveau de l’espace communautaire », a-t-il indiqué, soulignant la nécessité d’apporter à ce problème « des réponses urgentes ».